« Menons, ensemble, cette guerre contre les marchands de sommeil pour que cesse l’exploitation de la détresse : les traquer en les dénonçant et les taper violemment au portefeuille. »
Qui peut comprendre aujourd’hui que les marchands de sommeil ne payent que trop rarement des amendes significatives car ils ont organisé leur insolvabilité ?
Qui peut comprendre qu’ils bénéficient, comme ce fut le cas encore récemment à Paris ou Ivry, d’indemnités exorbitantes d’expropriation ?
Qui peut comprendre que, même condamnés, ils puissent continuer à acquérir des biens immobiliers en toute impunité ?